Sens-tu les chaînes qui t'entraînent vers le bas ?
Tous tes gestes qui te blessent au bout de la laisse
L'enfer, c'est les autres pour celui qui ne s'est pas libéré du poids des regards
Nager à contre-courant pour laisser sa trace
Avant d'être figé comme un reflet dans la glace
Soufflé par une vague imaginaire pensant naïvement respirer de l'air
Brise le miroir !
Brise le miroir !
Brise le miroir !
Ferme-lui les yeux !
Libérez-vous !
Sens-tu les chaînes qui t'entraînent vers le bas
Tous tes gestes qui te blessent au bout de la laisse
L'enfer, c'est les autres pour celui qui ne s'est pas libéré du poids des regards
Nager à contre-courant pour laisser sa trace
Avant d'être figé comme un reflet dans la glace
Soufflé par une vague imaginaire pensant naïvement
Brise le miroir !
Ferme-lui les yeux !
Brise-le !
À tous ceux qui voudraient briser leurs chaînes
Voici un manifeste, un message de haine
Envers et contre ceux qui nous freinent
Et nous empêchent de reprendre les rênes
Allons-nous nous défiler
Des Mozart assassinés
Ou bien nous révolter ?
Le maillon de la chaîne va se briser
La liberté désaliénée
Le ressentiment du mouton
Qui ment gaiement du haut de son balcon
Maintient les loups sous son joug
Les plus forts d’entre-nous au garde-à-vous
La vérité vient d’en bas
Le pouvoir au prolétariat
À tous ceux qui voudraient briser leurs chaînes
Voici un manifeste, un message de haine
Envers et contre ceux qui nous freinent
Et nous empêchent de reprendre les rênes
Tel père, tel fils
En eux subsiste le même vice
L’ignorance crasse qui menace
Laissera bientôt sa place
À une culture nouvelle
À une génération de rebelles
Rien qu’une utopie, fiction utopique
Rien qu’une allergie, démangeaison qui pique
Rien qu’une allergie, démangeaison qui pique
Rien qu’une utopie
Fiction utopique
On a dit que t'étais un bon à rien
Que dans la vie tu n'irais jamais loin
Mais ce soir la victoire t'appartient
Ça va être un beau combat
Stoïque et attendant le bon moment
Revêtu de l'habit du perdant
Prêt à tout donner sans te retourner
Sans faille est ta volonté
Oppose ta résistance
Souffre en silence
Et nul autre que toi
Peut choisir de laisser tomber
La tête qui explose
Écope, wake up !
Le combat perd son sens
Le public veut passer un bon moment
Distrait et amusé par ton sang
Mais ce soir tu lui a réservé
Une overdose de réalité
On a dit que t'étais un bon à rien
Que dans la vie tu n'irais jamais loin
Mais ce soir la victoire t'appartient
Ça va être un beau combat
On a dit que t'étais un bon à rien
Que dans la vie tu n'irais jamais loin
On a dit que t'étais un bon à rien
On a dit que t'étais un bon à rien !
Ta grande gueule crée la controverse dans les médias
Comme un sorti de prison
T'as renié ton personnage
Refoulé le démon dans sa cage
Victime de la célébrité
Tu l'as encore laissé s'échapper
Avatar ! Avatar !
Un sociopathe incohérent
Avatar ! Avatar !
Rôde dans ta tête en attendant
Avatar ! Avatar !
Un sociopathe incohérent
Avatar ! Avatar !
Soumis aux lois
Idéaliste blasé
Un robot de tôle super-héros
Y a personne qui te trouve drôle
T'es la victime de ton rôle
Plus rien ne se cache derrière ton masque
Tu entends des voix.
Tu me dis que tu ne veux rien connaître
Mais vois-tu l’image dans ma tête ?
Vois que c’est beau
Y a des formes énormes, des dunes de brume
Y a des torrents, des fleurs dans le vent
Y a un cri, un bruit mais oui, c’est lui
Qui tourne le dos
Venez dans l’amnésie généralisée
Heureux les oublieux (bis)
Heureux les oublieux, ils seront toujours chez eux
Venez dans l’amnésie juste pour essayer
Heureux les oublieux, les imbéciles heureux
Heureux les oublieux, ils seront toujours chez eux
Tu me dis qu’il n’y a rien d’éternel
Mais vois-tu l’image dans le ciel ?
Vois que c’est haut
Y a des boules qui roulent, de l’eau qui coule
Y a des feuilles en deuil, les fruits qu’on cueille
Y a des projets, des succès et des regrets
Parfois c’est trop.
Des miettes de pain au Club Price
D'la viande hachée à la télé
J'ai pas envie de préméditer
Bourrez-vous la face
C'est gratuit !
Servitude volontaire
Le bouc émissaire est sans repères
La pyramide du pouvoir
Lui enlève tout espoir
Consumé entre ses murs
Entretient le mal qui perdure
Pourtant la porte est grande ouverte
Pourquoi contribue-t-il à sa perte ?
Tu capitules, récapitules, tombes de ton monticule
Brise ta zone de confort
Anéantis tous ses efforts
Avant qu'il soit trop tard
Servitude volontaire
Parmi les vipères qui souillent l'air
Il maintient la dépendance
Sait briller par son absence
L'indomptable ressent un demi-siècle avant son temps
Par le feu et la pierre
Le spartiate refuse l'eau et la terre
Refrain
Cesse de l'alimenter
Ne laisse personne t'écraser
On ne devrait jamais négocier sa liberté !
La vie est courte
Pour ceux qui s’éloignent de la route
Sous nos yeux
On laisse passer l’instant présent
En gaspillant notre temps
Comme si on vivait éternellement
La brièveté
C’est dans l’adversité qu’on reconnaît les vrais
Éparpillé
C’est dans l’adversité qu’on reconnaît les vrais
Dans la brièveté que l’on se rappelle qui on est
Où est-ce que tu t'en vas ?
Tes choix de direction sont toujours si naïfs
Tout ce que tu veux construire
Un coup de vent peut le détruire
Une guerre de pouvoir qui nous enterre
Un pas devant et deux derrière
Et comme une nouveauté
Les mêmes erreurs sont répétées
L'important, c’est pas le temps qu'il nous reste
Mais ce qu’on décide de faire avec
Même s'il faut trouver notre place
Dans la solitude au milieu des glaces
Et marcher droit, même dans le froid
Joey ! Let's go !
Patton a besoin d’un combat
Joey ! Let's go !
D’une armée et de chars d’assaut
Même si la vie est compétition
En haute altitude
L’état de guerre n’offre pas les conditions pour élever à la vraie culture
Elle ne sera jamais bonne pour personne
Même pour Patton
Qui court toujours après sa queue
Sans jamais vraiment être heureux
Joey ! Let's go !
Patton a besoin d'un conflit
Blitzkrieg ! Blitzkrieg !
C’est comme ça qu’il s’accomplit
Même si l’idée de perdre est intolérable
Aux Américains
Même si l’on aime se battre
A-t-on vraiment besoin de tous ces coups pour rien ?
Le mieux est parfois l’ennemi du bien
Quel genre de société vous voulez ?
Quel genre de société vous voulez ?
Joey ! Let's go !
Patton a besoin d’un combat
Joey ! Let's go !
D’une armée et de chars d’assaut
Joey ! Let's go !
Patton a besoin d'un conflit
Joey ! Let's go !
C’est comme ça qu’il s’accomplit
Lemmy, Snake and gasoline for a moment of disgrace
Can you see these things eating his face
Miami vice and rolling dice collaborated too
Shame ! Blood ! Kill ! It's all free for you!
Have we ever met ?
I know
Have you ever faced the dawn ?
Have we ever met ?
I don't think
Have you ever faced, the dawn
Of the dead
Lemmy, Snakes and gasoline for a strike of metal flame
Can you see these things hiding his face
Floating down the sound resounds the music's underground
Fame ! Rods ! Still it's all free for you !
Une nouvelle horde se dresse à l'horizon
Dans la raison s'amorce une révolution
Le temps d'un monde est peut-être arrivé
Et personne ne soupçonne ce qui va frapper
Un mutant s'est infiltré
Il peut être n'importe où
Ne sent aucune douleur
Il ressent votre peur
L'humanité a toujours su résister
À l'assaut des animaux dénaturés
La solution rétrograde est dépassée
Ce chaînon de l'évolution est le dernier...
Il nous voit
Ne sent aucune douleur
Il nous ressemble
Il ressent votre peur...